Nous avons besoin de vous, pour continuer à vous offrir ce petit paradis naturiste qu’est le Club du Soleil de l’Essonne et son camping associatif, car depuis 3 ans, notre eau étant impropre à la consommation à cause d’une grave pollution industrielle, nous nous trouvons dans l’obligation de nous raccorder au réseau d’eau de la ville ce qui met notre trésorerie dans le rouge !
Merci de nous donner un coup de pouce
pour nous aider dans le financement du raccordement
de notre terrain au réseau d’eau de la ville.
Si vous souhaitez nous aider
vous pouvez le faire ici : Cagnotte
par chèque: ordre Club du Soleil de l’Essonne à adresser à:
Club du Soleil de l’Essonne
Chemin de Monlimon
91590 D’HUISON-LONGUEVILLE
Tous les donateurs seront conviés à une petite fête
pour le raccordement au réseau d’eau de la ville.
Merci d’avance !
Depuis sa création en 1957, notre association utilise de l’eau de forage pour ses besoins.
Malheureusement, depuis 3 ans, notre puits est souillé par une pollution industrielle aux OHV (composés Organo Halogénés Volatils) provenant de l’ancienne usine Gerber qui était située à Sermaise, le long de l’Orge dans l’Essonne.
Heureusement les produits étant volatils, notre eau de piscine contrôlée mensuellement par l’Agence Régionale de Santé a toujours été aux normes.
Nous avons, avec l’aide de la mairie de D’Huison-Longueville, réussi à trouver une solution en nous raccordant au réseau de la ville (début des travaux octobre 2018).
Malgré une trésorerie tout à fait saine, le coût de ce raccordement met notre trésorerie dans le rouge car nous aurons à faire face à d’autres grosses dépenses dans les deux ans à venir : la mise aux normes de notre assainissement et l’aménagement de notre terrain pour répondre aux normes handicap, sous peine de voir notre terrain fermer par les pouvoirs publics !
L’usine Gerber retraitait des produits solvants, depuis 1952. Dans les années 70, des enquêtes ont révélées que des substances nocives sont déversées dans l’Orge. La société, alors sommée de retirer les milliers de fûts toxiques qu’elle stocke sur son terrain, les enfouit.
En 1992, par arrêté préfectoral, 3700 tonneaux sont excavés mais plus les pelleteuses creusent, plus les bidons se font nombreux ! 2000 nouveaux fûts découverts dans les années 2000 !
Malgré tout, les travaux de dépollution sont suspendus et les 2000 barils de produits toxiques dorment toujours sous terre, en suintant leurs OHV cancérigènes qui polluent les nappes phréatiques dont celle dans laquelle nous puisons …
Voir le parisien : Lire l’article
Un reportage sur l’usine GERBER : http://www.ina.fr/video/